• Les réfugiés étaient accueillis dans des familles moyennant le prix de leur hébergement et nourriture. Voici un exemple de dossier administratif de remboursement d’un habitant du Blanc ayant accueilli une famille de l’Oise.

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  • Face au départ de son personnel mobilisé, la Compagnie des Tramways de l’Indre cherche des solutions : un seul aller-retour par jour entre Le Blanc et Saint-Benoit tout d’abord, puis l’essai de recrutement de réfugiés pour remplacer chef de gare, chef de train et ouvriers d’entretien des voies.

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  • Si le matériel fait défaut au front (voir l’article précédent), à l’arrière ce sont les travailleurs qui manquent...

    Pour les travaux agricoles, préparation des terres et semailles, des permissions seront accordées aux territoriaux et il faut réquisitionner les hommes valides dégagés des obligations militaires... Il n’est pas fait mention à cette époque d’emploi d’éventuels prisonniers allemands.

     

    La métallurgie aussi est en manque de bras, ainsi qu’on peut le voir à travers cette circulaire demandant d’établir une liste des réfugiés, demande régulière depuis le mois d’août 1914, mais cette fois-ci insistant particulièrement sur les métiers liés au travail des métaux.


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  • Les troupes ont besoin de couvertures... à réquisitionner, acheter, louer (? !)...

    Nous n’avons pas retrouvé de listes de dons ou réquisitions. Mais voici deux documents indiquant le nombre de couvertures qu’il serait possible d’acheter dans les magasins du Petit Paris (note au brouillon) et « Au Printemps ».

    Grâce aux cartes postales du fonds Delteil, voici des photos de ces deux magasins, dans les deux cas à gauche de la photo :

     

    Elles ont aussi besoin de matériel plus « spécialisé » : ainsi cette demande du 17 octobre 1914 portant sur le matériel des sapeurs-pompiers... sans gêner le service d’incendie.


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